LES SIMONE
SIMONE DE BEAUVOIR SIMONE VEIL SIMONE SIGNORET
Les commanditaires
Marine et Marion
Marine et Marion sont deux femmes ancrées dans leur époque, ouvertes sur le monde, aux caractères bien trempés, et qui portent en elles les valeurs socle de liberté et d’égalité. Toutes deux cheffes d’entreprises dans le domaine de la « Tech », elles affirment leur place d’égal de l’homme sans en oublier leur féminité qu’elles revendiquent. Elles se questionnent constamment sur la place de la femme : quels droits nous ont été légués ? Au prix de quels combats ? Que nous faut-il faire pour les conserver et obtenir ceux qu’il nous manque encore ? Quel devoir de mémoire avons-nous ? Qu’y a-t-il de plus pénible que de retourner d’où l’on vient ?
Et pourtant… La période est marquée, entre autres, par l’abolition du droit à l’avortement dans certains Etats des Etat-Unis.
D’aucuns diront « cela ne pourrait jamais arriver en France » mais, est-ce vraiment la question ? ; pour Marine et Marion l’indignation est immense. Raisonne alors en elles une phrase :
« Il suffira d’une crise politique, économique et religieuse, pour que les droits des femmes, nos droits, soient remis en question.
Votre vie durant, vous devrez demeurer vigilante ».
Et voilà ! C’était là ! Le point de départ créatif ! Porter le message !
Passionnées d’Art, elles décident de transcrire cette idée commune au travers d’une œuvre dédiée à la liberté, au courage, à la combativité, à la justice, et l’altruisme, une œuvre consacrée aux Femmes d’hier pour rappeler aux Femmes d’aujourd’hui que la voie leur a été ouverte mais que la course est loin d’être gagnée.
Comme elles aiment à le dire, chacune d’elles affectionnent une Simone. Pour Marion c’est la révolutionnaire Simone de Beauvoir. Femme de lettre, qui décrit une société où la femme est maintenue dans un état d’infériorité, et prône « l’égalité dans la différence » et l’émancipation de la femme dans ses ouvrages tout comme dans sa philosophie de vie. Pour Marine, c’est la combative Simone Veil qui suscite chez elle l’admiration ; le don d’Une Vie dédiée aux autres, à la bienveillance, à l’égalité et la justice résonne en elle. Présentes dans leurs pensées, ces femmes inspirantes, venues du passé, devenaient alors les passeuses de témoin.
Puis spontanément une autre Simone est venue crever l’écran. Simone Signoret… comme s’il ne manquait qu’elle. Grande artiste oscarisée et césarisée qui se fait porte-parole engagée de sa génération, en refusant notamment le glamour obligatoire.
Le trio « les Simone » était né.
L'ARTISTE
Justine Coquidé
Pour créer et inscrire leurs convictions féministes à travers l’Art, elles font appel à l’artiste Justine Coquidé. Par la technique du collage, Justine Coquidé a pour habitude d’évoquer, à travers ses travaux, une vision décomplexée de la femme du XXI ème siècle. Des œuvres parfois oubliées de l’Histoire de l’Art surgissent de nouveau et dévoilent une nouvelle identité plus en phase avec les codes de notre génération. La divinité Vénus, symbole de la féminité est
souvent exploitée par l’artiste, l’a laissant assumer une nouvelle liberté d’expression et de nouvelles revendications.
Pour l’artiste, le projet « les Simone » à tout de suite fait sens. Pour faire vivre cette belle histoire, la première
référence artistique a été pour les trois Grâces de Botticelli. Après quelques recherches, c’est l’interprétation de James Pradier, exposée au musée du Louvre, qui fit prendre toute sa dimension au projet.
Pour créer et inscrire leurs convictions féministes à travers l’Art, elles font appel à l’artiste Justine Coquidé. Par la technique du collage, Justine Coquidé a pour habitude d’évoquer, à travers ses travaux, une vision décomplexée de la femme du XXI ème siècle. Des œuvres parfois oubliées de l’Histoire de l’Art surgissent de nouveau et dévoilent une nouvelle identité plus en phase avec les codes de notre génération. La divinité Vénus, symbole de la féminité est
souvent exploitée par l’artiste, l’a laissant assumer une nouvelle liberté d’expression et de nouvelles revendications.
Pour l’artiste, le projet « les Simone » à tout de suite fait sens. Pour faire vivre cette belle histoire, la première
référence artistique a été pour les trois Grâces de Botticelli. Après quelques recherches, c’est l’interprétation de James Pradier, exposée au musée du Louvre, qui fit prendre toute sa dimension au projet.
Pour créer et inscrire leurs convictions féministes à travers l’Art, elles font appel à l’artiste Justine Coquidé. Par la technique du collage, Justine Coquidé a pour habitude d’évoquer, à travers ses travaux, une vision décomplexée de la femme du XXI ème siècle. Des œuvres parfois oubliées de l’Histoire de l’Art surgissent de nouveau et dévoilent une nouvelle identité plus en phase avec les codes de notre génération. La divinité Vénus, symbole de la féminité est
souvent exploitée par l’artiste, l’a laissant assumer une nouvelle liberté d’expression et de nouvelles revendications.
Pour l’artiste, le projet « les Simone » à tout de suite fait sens. Pour faire vivre cette belle histoire, la première
référence artistique a été pour les trois Grâces de Botticelli. Après quelques recherches, c’est l’interprétation de James Pradier, exposée au musée du Louvre, qui fit prendre toute sa dimension au projet.
Les trois Grâces connues comme étant les Charites dans la mythologie Grecque, déesse du charme, de la beauté et de la créativité, elles dispenseraient aux êtres humains de bonnes mœurs comme l’égalité d’humeur, la bonne grâce, l’éloquence, la sagesse, et la reconnaissance. En outre, ces divinités sont considérées comme bienveillantes et personnifient tout ce qui est agréable à l’Homme. Les valeurs sont communes, l’évidence se fait sentir. L’artiste Justine Coquidé fusionne la personnalité et l’Histoire des Simone à travers ces trois Grâces. La sculpture traverse les âges pour retrouver une nouvelle identité et se reconnaître à travers ces trois femmes qui ont marqué le XX ème siècle. Pour leur rendre hommage, nous retrouvons les attributs identifiables de leur personnalité et de leur histoire. Chaque regard est soigneusement mis en scène et en lumière comme le reflet de leur identité éternelle.
Comme si « les Simone » veillaient encore sur nous, telles des divinités.